Koudougou : Le Conseil économique et social échange avec les populations

Le président du CES, Bonaventure D. Ouédraogo en interview à Koudougou. @Bendré

Le Conseil économique et social (CES) a échangé avec les populations de la région du Centre-Ouest à Koudougou le mardi 28 décembre 2021.

Présenter aux forces vives de la région le Conseil économique et social (CES), échanger et recueillir les attentes et les préoccupations de la région en matière de développement économique et social. C’est l’objectif visé par le président du CES Bonaventure D. Ouédraogo. C’est l’occasion de faire connaitre son nouvel bureau, ses productions et mieux connaitre la région du Centre-ouest et ses potentialités en matière de développement économique et social.

Le CES est une institution à compétence consultative. Il conseille par ses études, avis et recommandations le Gouvernement sur des sujets d’intérêt national, notamment en matière de politiques publiques, de projets et programmes pour le développement économique, social et culturel du Burkina Faso. Cadre institutionnel fédérateur, il intègre 31 secteurs socioprofessionnels.

Pour la gouverneure de la région du  Centre-Ouest, Irène Coulibaly, c’est un honneur de recevoir le président du CES et sa délégation. « Une telle rencontre est salvatrice et une très belle opportunité pour les populations du Centre-Ouest de présenter leur préoccupation à monsieur le président en vue de l’amélioration de leurs conditions de vie », fait-elle savoir. Elle estime qu’au regard des difficultés liées à la crise sécuritaire et sanitaire, il est important que « ceux qui dirigent les institutions soient à l’écoute des populations. »

Pour le président du CES, Bonaventure D. Ouédraogo, cette sortie au Centre-ouest est un moment pour l’institution d’échanger directement et de recueillir les attentes des forces vives de la région en matière de développement économique et social pour une meilleure formulation des politiques publiques. « Nous pensons qu’en venant à Koudougou et en commençant par écouter les forces vives, nous allons avoir beaucoup d’information », a-t-il laissé entendre avant d’ajouter qu’il n’est pas exclu que les forces vives les orientent vers un thème qui peut être porteur pour la région et pour le Burkina en général.

Dramane FAYAMA

 fayamadrama92@gmail.com

 

 

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